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DES GARDES CHAMPÊTRES
Leurs lointain ancêtres, bien que soumis à une autorité différente, sont les gendarmes des bois, comis à cette surveillance par le comté de Baumont (en 1399: Gilles BUISSOT et Gilles de THUIN). (23-CC-8736)
1806 : | PAYEN | 1910 : | COUPIE Nicolas |
1814 : | DEBRAY | 1911 : | PAQUIE Constant |
1834-1845 : | LECLERCQ | 1936 : | HERPHELIN Louis |
1849 : | ANDRE | 1940 : | ROSIER Marcel auxilliaire |
1866 : | DURANT Camille | 1946 : | NILE André |
1871 : | TRICART | 1958 : | BROQUET Jean |
1900 : | BLARY Louis | 1960 : | STAUMON Emile faisant fonction |
1906 : | HAUTIER Jules | 1969 : | CHARPENTIER Marcel |
1910 : 18/8 au 1/11 | Mme Veuve HAUTIER | 1979 : | LEMAIRE André |
1979 : |
LA GARDES NATIONALE
Elle fut crée par la loi du 22 mars 1831.
Celle du département comprenne II Légions. 184 bataillon, 12 compagnies isolé et 76 subdivisions de compagnies isolé, soit 86 000 hommes (28 000 armés, 13 000 habillés et 10 000 équipés.
Il y a, dès 1832, un bataillon cantonal à Beaufort, dont un détachement vas saluer le Roi Louis-Philippe à la sortie Nord d'Avesnes, le 8 janvier 1833.
Le commandant était élu pour 3 ans. Le commandement fut alternativement assuré par Monsieur TRAMPONTet GRARD, le premier laissa son grade à son habitation longtemps appelé "la maison du commandant"(à la Haute BORNE.)
EFFECTIF :
En 1835: 160 gardes,
En 1839: 88 (de service ordinaire)
En 1845: 115 (ID°)
En 1849: 152 (ID°).
Le service ordinaire, dans les communes rurales comme BEAUFORT, comportait, l'hiver des patrouilles nocturnes pour veiller à la sûretée des personnes et des propriétaires.