Beaufort 59330


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Faits divers

histoire

FAITS DIVERS



1398 Jehan MEURISSE, Colars de GILLIES, Haste MOREAU, et Noëlde TOURNAY paient Cens . (30-CC-8726)

1405:
9 octobre) le prévôt de MAUBEUGE, Thierry de HAYNIN envoie un sergent dans le village de BEAUFORT pour signifier au Mayeur d'avoir à se rendre à MAUBEUGE à certain jour suivant avec la liste "des masnuyers (chefs de familles) et chefs d'hôtel" du village, afin de fixer exactement le nombre d'hommes qu'on pourrait trouver pour venir faire le guet en ville. (15)

1428
(29 octobre) Une bande originaire de SAULTAIN blesse deux personnes d'AVESNES : Jean MOREAU et son neveu, entre BEAUFORT et son bois. Le prévôt de MAUBEUGE se lance à leur poursuite mais se fourvoie sur une fausse piste .

1450
Les manants paient rentes pour pouvoir cuire chez eux.

23/8/1526 Jehan COURTIN, marchand de filet de sayette, à BEAUFORT, achète une masure à Jeanne LOISEAU.à AVESNES, au lieu-dit "le Beghinage". (28-8-G.23, 35 et 36)

1607 PHILIPPE III, roi d'ESPAGNE, ordonne de laisser jouir tranquillement le seigneur de CROY, chambellan du duc des bois dont le pied a été coupé à BEAUFORT.

1622: "Tous estrangers ayant demoré an et jour audit BEAUFORT estant bien formez requerans d'estre admis ou nombre des bourgeois doivent 11 sols et 6 deniers pour être reccus". (Mémoire de 1622)

1625
Les CORVEES : "il était fait mention ci-devant des baux fermiers de la censé seigneuriale, mais les gens audit
BEAUFORT ne savent en quoi les corvées consistent n'en ayant jamais vu faire aucune". (Cartulaire du Comté
de Hainaut)

1678 Faute de place à AVESNES, des troupes de LOUIS XIV sont logées à BEAUFORT. (Livre Rouge d'AVESNES)

1681 (22 mars) Valentin GRUMEAU, demeurant à BEAUFORT, a été amené en prison pour 50 livres qu'il doit à Jean ANDRE. Est écrit en marge : "Sorti le 26 par un billet du mayeur de MERBES" (MAUBEUGE Archives municipales-Registre de la prison royale de 1696 à 1719 - 54-V)

7/7/1694 L'échevinage de BEAUFORT constitue une rente de 41 livres, en principal de 656 livres, au profit du couvent des Soeurs Grises de MAUBEUGE. (28 119 H 21)

6/6/1738 Antoine LECLERC est retrouvé, mort depuis 4 jours, dans le Bois de BEAUFORT. (État-Civil)

Janvier 1789 Marie-Catherine DUFRANE, d'ECLAIBES, intente une action en rupture de promesse de mariage et reconnaissance d'enfant à naître, contre Jean-Joseph MARIT, valet de charrue, de BEAUFORT. Celui-ci est arrêté et mis en prison à MAUBEUGE d'où il sort le 6 mars. Il est condamné à : se charger de l'enfant jusqu'à sa majorité, l'élever dans la religion catholique apostolique et romaine, ne pas l'éloigner d'une lieue du domicile de sa mère qui garde un droit permanent de visite et lui payer une amende de 300 livres, monnaie de france pour frais de couche et langes,à moins qu'il ne l'épouse. (21)


1789: Le cahier de doléances expose que les manants offres~_ leur vie, leurs biens et leur travail au roi; ils parlent du Curé avec respect et déclarent que les Chevaliers de Malte sont des voleurs. (21)

Les délégués élus au Tiers-Etat sont BESSE, curé
SAINT-AUBIN FRANCOIS DE SAINTE ALDEGONDE, colonel ; DARCHE, maître de forge à MARIENBOURG et HENNET, prévôt de MAUBEUGE. (21)

AN XIII Les loups dévorent un poulain et une génisse de 1 an. (22)

1834 Monsieur FOURNIER est associé libre de la Société d'agriculture d'AVESNES. (24)

1841 ( nuit du 30 juin) un violent incendie détruit l'habtation du Sieur CRAPET. (22)


1844 Monsieur PRESEAU reçoit la médaille d'argent des sauveteurs. Il a sauvé un ouvrier enseveli sous un éboulement dans la fabrique de Monsieur DUMONT, à FERRIERE-LA-GRANDE. (29)

1845
. Monsieur COUVREUR reçoit la 5ème prime au concours d'amélioration de la race des chevaux.


1849 Monsieur TRAMPONT est membre de la société d'agricuture d'AVESNES (24)

Vers 1860 LE GRAND FEU : un dénommé HERAS (?) incendie volontairement une maison rue PASTEUR (J. BAUDUIN). Les toits étant en chaume, l'incendie embrase ceux de la rue PASTEUR, de la Grand-Rue jusqu'à l'abreuvoir et de la rue de l'Hôpital. C'est à la suite de cet incendie que la plupart des maisons furent recouvertes en ardoises.

Vers 1870 La machine à vapeur entraînant la scierie du sieur COLLENE explose. Son corps est affreusement déchiqueté. On en retrouve des morceaux jusque sur le toit. (22)

1879 Le docteur Louis MASSOT obtient la médaille d'argent de première classe (récompense aux vaccinateurs). (29)

1895: Festival de Musique dans la commune. (Conseil Municipal)

1906: Vote d'un secours de 20 francs aux victimes de la catastrophe de COURRIERE. (Conseil Municipal)

1911: Demande d'une remise d'impôt sur les propriétés en pâturage (sécheresse et fièvre aphteuse). (Conseil Municipal)

1913 Banquet des médaillés de la guerre de 1870. Nous avons retrouvé les noms de deux de ces médaillés : MAINIL Emile (dit LE MOUQUET) et ÉVRARD Paul (dit MIGEON).
Ils furent décorés par M. DEFONTAINE, député. (Conseil Municipal)

1915 Coût des poteaux frontière : 100 francs (Conseil Municipal)

1921 Débuts de l'électrification. (Conseil Municipal)

1930 Électrification des écarts. (Conseil Municipal)

1936 (3 avril): Monsieur RICHE est assassiné. (État-Civîl)

1952: Électrification des cloches. (Conseil Municipal)

1968: Un gros orage abat le coq du clocher. (Conseil (Iljuîllet) Municipal)
Les assurances dédommagent pour la somme de 10478 francs.
Réfection partielle du clocher par Jean CANTINIAU

1993 Changement du boîtier "cloches" ainsi que mise en place de l'Angélus.

1993 Visite chez Mr et Mme MONIN d'un "fusiller" Anglais

Monsieur le Maire donne lecture à l'assemblée d'une lettre adressée à Mr et: Mme MONIN, demeurant 1 ruelle Tournante à BEAUFORT qui ont reçu fin août 1993, la visite d'un ancien "fusiller" anglais, Frédérick HODGES.


Extrait de la lettre:

Quelle joie pour nous de vous rencontrer, après notre trajet de MAILLY MAILLET ou nous passion des vacances. Nous avons voyagé de MAILLY MAILLET j'unsqu'à BERLAIMONT. Un long parcour à travers les champs de bataille de la première guerre mondiale, pour trouver une maison particulière à BEAUFORT; jai été ravi de reconnaitre la maison n° 1, ruelle tournante, c'était la maison que je cherchais. je l'ai vue pour la diernière fois, en novembre 1918. a ce moment-la, je je conduisais une patrouille, ne sachant si les Allemands allaient lutter pour garder le village. La porte de devant de la maison ou vous habitez s'ouvrit. Une lumière pénétra les ténèbres et nous vîmes deux femmes qui se tenaient sur le seuil.
Nous nous raprochâmes de la maison et elles virent notre uniforme et crièrent à plusieur reprise: Les Anglais, lesAnglais! Ha les boches sont fini! Vive la France! vive l'Angleterre!.
Cela devait être la nuit du 10 au 11 novembre 1918, mais nous soldats Britanniques, nous ne savions pas à ce moment-la que la fin de la guerre était imminente. Les Allemands avaient quitté le village ce soir là, laissant des soldats Allemands qui étaient grièvement bléssés dans l'église qui ce trouve en face de votre maison.
Le lendemain 11 novembre à 11 heures, nos gros canons céssèrent de tirer et tout le long du front après ces quatres longues années de guerre, un silence extraordinaire s'établit. Nous commençames anci nous rendre compte que la guerre venait de se terminer. Un peu plus tart, des femmes très fachées s'approchèrent du portail de léglise, ayant l'intention d'attaquer les soldats Allemands. J'ordonnais à deux de mais hommes de se tenir au portail et je fis enlever les soldats Allemands.
Monsieur HODGES Fédérick indique encore sur la lettre que l'année dernière il a passé une semaine à MAILLY MAILLET près d'Albert, et q'un reportère est venu l'interviewer, un article sur son retour aux champs de bataille de la Somme est paru dans le courrier Picard.



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