Beaufort 59330


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Anecdotes raconté par les habitans de Beaufort

Divers > Le village

Anecdotes et renseignements diversracontés par les anciens(sous toutes réserves).

ROUTE NATIONALE 2
Accidents :

En 1927, eut lieu le premier accident sur la Nationale au Restaurant Le Relais (Mr LETERTRE Emile).

Le 2ème accident grave, ce fut un autocar d'USINOR,il y eut de nombreux blessés et tués
II y eut également Germaine BERNARD, qui demeurait en
face de la ferme de Camille BOUCNEAU, elle fut écrasée par un camion au lieu-dit ROBINSON.


Chapelle Notre Dame de la Route

Elle fut construite après la guerre, en 1959.
C'est l'Abbé LEFEBVRE qui l'a fait construire, pour remplacer celle qui a été détruite pendant la guerre et qui était située dans la pâture COLSON, chemin VECLAIBES. Elle a été détruite en 1918.


Chemin du Parc :

Il a été dénommé Chemin du Parc, parce qu'en 1814, l'armée conquérante (autrichienne ou prussienne ?) y a établi son camp.


Clocher de BEAUFORT :

En Mai 1967,un éclair est tombé sur le clocher.
La colonne de fumée est montée à 30 mètres.'est soit disant grâce à une relique de St LIEVIN que
l'Église n'a pas brûlé .
(fait raconté par Mr DUPUITS).
En 1914, les Allemands ont mis 37 charrettes de fagots pour brûler l'église, mais l'église n'a jamais brûlé. (fait raconté par Mr André DUPUITS).

Monsieur BOISE, présent à la réunion, dit que cela est très vraisemblable.

Monsieur Pierre SOYEZ, quant à lui, dit qu'il n'a jamais entendu parler
de cela.

Incendies de 1914

En 1914, il y a eu 96 bâtiments qui ont brûlé à BEAUFORT, ,granges et maîsons).
fait raconté par Monsieur SOYEZ).
Lorsque les allemands ont allumé ces incendies, les maisons situées rue CLEMENCEAU (celles de Messieurs CLOEZ et SOYEZ) ont été épargnées. Monsieur Claude DEBRUGE en donne la raison :
"Le feu a été mis chez Henri LEPROHON. Au moment où ils allaient continuer, les Allemands ont vu quelqu'un dans la prairie, c'était le père BIS Albert, qui restait chez DEWILDE. Ayant vu de la fumée, il venait voir ce qui se passait. Etant arrivé derrière la maison LEPROHON, les Allemands l'ont interpellé. ils lui ont crié" halte", puis l'ont suivi. Lorsqu'ils sont revenus sur leurs pas, ils ont rencontré d'autres Allemands qui leur ont dit de ne pas continuer à mettre le feu, c'est. la raison pour laquelle ces deux maisons ont été épargnées".
En 1918/1919, il y eut une épidémie de grippe espagnole. Il est de notoriété publique qu'elle a fait plus de morts qu'à la guerre de 1914.
Un obus a aussi tué l'Abbé MAUFROY. Les tirs étaient dirigés vers la grand rue.

Achats effectués par un ménaee avant la guerre

Achats de première utilité - pétrole lampant,
mèches,
verres de lampes,
mine de plomb pour astiquer les feux, - savon noir,
potasse,
cristaux de soude,
chicorée grasse pour faire du café.
Monsieur André DUPUITS dit que le meilleur décapant pour la rouille sur les métaux est le Viandox.

Ferme de l'HÔpital:

D'après les notes écrites par Monsieur MONTION Gabriel, instituteur à BEAUFORT en 1943, (pages intitulées : Écarts, lieux-dits), il semble que la ferme de l'Hôpital est bien celle située à l'angle du Chemin de WATTIGNIES (C.D. 155) et de la rue de l'Hôpital. En 1943, il écrivait : "la ferme de l'Hôpital se trouve à l'Est de l'agglomération et appartient à Monsieur MONET. Autrefois, les revenus de cette propriété paraissent avoir servi à l'entretien d'une maison de refuge pour les vieillards, infirmes et les voyageurs.

Ferme de la Tour


Monsieur BOISE écrit dans son livre sur BEAUFORT (page 31) : "une distillerie d'alcool de betteraves (RENAUX-COUVREUR) jusqu'en 1904. Page 10, on trouve : "atelier de réparation situé dans la grange de la ferme
de la TOUR.

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